~Fiche de Votre_Pseudo~
Identité:
Nom du personnage : Boivert
Prénom du personnage : Marie-Anne
Âge du personnage : 19 ans
Origine:
Nationalité : Canadienne (Québécoise)
Planete/Race : Humaine/Terre
Pouvoir : Son corps se transforme en une sorte de métal vivant qui est une extension d'elle-même. Elle peut lui donner toutes les formes ou consistances qu'elle désire, entre autre se faire pousser des appendices comme des massues ou des lames au bout de ses bras. Elle peut aussi créer des sortes de fouets pour saisir quelqu'un à distance, et se servir de petits projectiles de métal qu'elle génère comme armes de jets, javelots, lances, ou flèches, mêmes des balles ou des dagues. Elle peut solidifier cette couche de métal vivante pour faire une armure impénétrable. Elle peut se générer un bouclier avec aussi.
Alignement : Méchant
Description
Description physique : C'est une jeune femme aux cheveux blonds généralement coupés très courts et aux yaux bleux pâles, presque délavés, en fait. Elle a un joli visage rond aux joues rebondies, des lèvres minces et roses, un nez fin et délicate, et des yeux très grands, qui ressortent dans son visage. Elle a des taches de rouseurs sur les joues et le nez. Elle est plutôt petite et très minces, délicate, même, avec des allures d'elfe de légendes. Elle a l'air fragile et incapables de se battre, mais les apparences sont trompeuses. Quand elle use de son pouvoir, c'est comme si son corps se recouvrait d'une couche de métal argenté vivant, qui selon sa volontée peut prendre toutes les formes qu'elle veut. Elle à l'air bien plus imposante et puissante sous cette forme. Ses yeux prennent alors une teinte rouge lumineuses, et même ses dents et l'intérieur de se bouche devient métalliqe et argenté.
Description morale : Marie-Anne est très sûre d'elle, et elle est surtout une rebelle. Elle aime semer le trouble et causer le cahos sur son passage. C'est une fille que l'on pourrait qualifier d'adolescente à problèmes, mais multiplié par dix car elle utilise ses pouvoirs pour semer encore plus de cahos. Elle est dure et un peu cruelle, elle aime bien faire souffrir ceux qui l'ont d'abord faite soufrir elle, et elle est rancunière. De plus, sa rancune est tenace, et elle peut traquer quelqu'un pour tenter de se venger d'un affront. Elle ne se fache cependant pas souvent, mais elle est très froide, et elle peut regarder sans broncher les pires horreurs. Elle a un sens de l'humour un peu tordu, et est probablement la seule à rire de ses propres blagues.
Histoire :Marie-Anne est née à Québec, au Canada, d'un père Capitaine dans l'armée de l'air Canadienne, pour la base de Valcartier Marc Boivert, et d'une mère médecin généraliste au CHUQ, Dorianne Corriveau-Boivert. Dès son plus jeune âge, faute de temps à lui consacrer, ses parents la confièrent à des nounous et des garderies. Elle a toujours été élevée par les autres, et le manque d'attention de ses parents lui faisait beaucoup de tort. L'absence de parents aimants et présents, trop prit par leur travail pour se préoccuper d'elle, a fait en sorte que le petite fille dévelloppe très tôt son sens de l'initiative et son autonomie. Elle se débrouillait pour ainsi dire seule dès l'âge de huit ans. À l'école, elle se fit très jeune une réputation de fauteuse de troubles, car elle était toujours envoyée chez le directeur, et le plus souvent, elle était effectivement fautive. Cependant, le plus souvent aussi, c'est elle qui menait le petit groupe d'enfant qui causait des problèmes.
Au secondaire, les choses ne se sont pas arrangées. Elle a commencé à toucher à toutes sortes de drogues et à l'alcool. Elle se tenait avec des groupes plus que mal famés, et elle se fit plus d'une fois arrêter pour possession de drogues ou pour tapage nocturne avec sa bande de voyous d'amis. Ses parents ne la comprenaient pas, et le moyen qu'ils trouvèrent pour se délester du problème et de la gêne que représentais cette fille bien peu digne pour eux, était de l'envoyer voir un psy. Peine perdue, et la fois suivante, elle se fit arrêter parce qu'elle avait poignardé un type à la sortie d'un bar. Elle passa devant la cour pour les jeunes, car elle n'avait que 16 ans, et elle fut condamnée à passer les deux prochaines années en réclusion fermée, avec obligation de consulter un psy toutes les semaines. Mais les choses se corsèrent dès le sixième mois de son internement, car ses dons décidèrent alors d'émerger.
Elle se rendit pour la première fois comptes qu'elle avait des pouvoirs méta-humains quand elle transforma involontairement son corps en métal pour éviter un coup de couteau dans le dos. Surprise, elle regarda ses mains, brillantes et argentées, et vit que les autres jeunes présents dans la cafétéria du centre la regardaient bizarrement. Elle savait que les types avec des super-pouvoirs existaient, elle en avait entendu parler comme tout le monde, et elle avait même parfois fantasmée sur ce qu'elle ferait, elle, si elle avait de tels pouvoirs, mais jamais elle n'aurait rêver en posséder pour de bon! Un sourire vraiment mauvais éclaira son visage, et ses yeux, qu'elle ne pouvait pas voir, brillèrent d'une flamme inquiétante et écarlate. Et puis elle se déchaina. Les journaux qualifièrent ce qui se passa par la suite de "la pire trainée de cadavres jamais vue au Québec depuis des années". D'abord, elle rasa ce pitoyable centre de réhabilitation, et s'enfuit. Elle s'occupa ensuite de ces gens, juge et avocats, assistants sociaux et ce psy fendant qui croyait tout connaitre, de la manière la plus inventive possible. Ensuite vint le tour de ses soi-disant amis, qui l'avaient lâchée dès que les ennuis s'étaient pointés. Un par un, elle traqua et extermina les responsables de sa vie désastreuse, mais elle gardait ses chers parents pour la fin.
Elle alla dans leur maison, anciennement la sienne aussi mais qu'elle ne considérait plus comme telle depuis qu'ils l'avaient laissée se faire enfermer dans ce centre pourri, et elle les ligota sur deux chaises. Sous son apparence métallique, ils ne la reconnurent pas tout de suite, et quand elle les eut attachés, elle découvrit uniquement son visage. La stupeur et l'horreur qu'elle lut sur leurs visage fut un grand plaisir pour l'adolescente perturbée. Elle prit tout son temps avec eux, et elle prit aussi le temps de leur expliquer pourquoi elle faisait ça, pourquoi elle les détestait de l'avoir toujours laissée seule, de n'avoir jamais eu de temps pour elle, de n'avoir pas été de bons parents... C'était eux, les responsables de leur propre fin, finit-elle juste avant de les tuer. Par la suite, elle partit du Québec pour ne put y remettre les pieds, prenant un malin plaisir à semer tous les flics qui se mettaient sur son chemin. Les journaux l'appelaient "la méta-humaine meurtrière de Québec" et s'en donnaient à cœur joie. Mais Marie-Anne s'en régalait. Elle était maintenant quelqu'un, quelqu'un de puissant et qui avait un avenir. Elle était crainte comme un être supérieurement puissant et cela lui plaisait beaucoup. Elle ne passerait pas sa vie à jouer les petites criminelles, non, jamais, pas elle! Pendant l’année suivante, elle vadrouilla dans toute l'Amérique du nord, en profitant pour apprendre l'anglais à la perfection, suivant les exploits de ces soi-disants super-héros tels que les Titans, Superman, la JLA, etc… Et se servant parfois de ses pouvoirs pour faire de la casse quand elle avait besoin d'argent. C'est pendant cette période, aussi, qu'elle prit son surnom de "Heavy Metal
Depuis, elle est parvenue à San Fransisco, et elle a décidé d’y passer quelques temps. Qui sait, ça pourrait être amusant de se castagner avec les jeunes Titans!
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